Chapitre XVIII : Une suprise qui n'en était pas une

De retour de ma dernière mission, ou j'ai affronté les rancors, je rentrais à mon appartement. En entrant dans le couloir de l'immeuble, j'eu une sensation êtrange. Je pris le tube élévateur pour atteindre l'appartement 2573, le mien. En sortant du tube, je m'aperçu que ma porte n'était plus que des débrits métalliques.


J'habitais un appartement à la limite de la classe moyenne de Coruscant. L'immeuble était pourri, les murs qui était "décorés" tombaient en miettes, tandis que les parties métalliques comme les sols étaient rouillés. Mais c'était au dessus de ce que la population principale de coruscant pouvait se payer. Mon appartement était assez spacieux, environ 200m². J'avais travaillé pour et l'avais aménagé selon mes besoins. Installant même un droïde majordome, au cas ou je devais arréter précocément ma carriére suite par exemple à un handicap majeur. Je disposais d'un vaste salon avec une vue de loin sur le temple jedi. Parfois, quand je me reposais le soir, je prenais plaisir à m'installer dans mon fauteuil devant la grande fenêtre. Et je regardais le ballet incessant des vaisseaux et des taxis républicains, virevoltants comme les lucioles éléctriques de Dathomir à la saison des amours. J'aimais à regarder ce spectacle au coucher du soleil en jouant du xenarmonica.

Bref, je sortais du tube et vis ma porte en morceaux. Dégainant mon blaster, j'entris et vis mon appartement sans dessus dessous. Mon droïde avait été mis en pieces, mes armes volées, mes meubles calcinés et tout ce qui avait de la valeur démonté et cassé. Un symbole avait été peint sur le sol. Il s'agissait des résistants...Mon appartement ne présenté plus aucun intéret pour moi, pire il constituait un piege si j'y restais. Je décidais donc de partir, emportant mes crédits restant, mon blaster, mon armure et ce carnet.

Au fond de moi, je savais que cela pouvais arriver. J'ai échoué et ils ont vu mon visage. Ils ont alors put m'identifier et se venger...