Suite à mon début de carrière, j'avoue ne pas avoir eu beaucoup de temps a moi. Je décidais alors de faire une légére pause. En effet, il restait beaucoup d'affaire de mon père que je n'avait ni trié, ni rangé. Entreprenant de ce pas de ranger les affaires de mon père, je tomba alors sur un carnet de notes duquel s'échappa un holodisque. Intrigué, je lus le carnet...il s'agissait d'un carnet relatant des recherches personnelles de mon père sur le peuple Mandalorien. J'en appris alors bien davantage sur mes origines et celles de mon peuple. D'après certaines notes, nous existerions depuis avant l'invention de l'hyperespace ! Mais ce n'est pas encore confirmé, seuls quelques archéologues impériaux pourraient le savoir réellement.
Concernant l'holodisque, je le lus et à ma grande surprise mon père savait tout cela...un hologramme de lui apparut et me parla
- Kerv, mon fils...si tu vois cet holodisque, c'est qu'à l'heure actuelle je suis probablement mort...tu aura probablement trouvé mon carnet également. Garde le soigneusement, il renferme toutes informations que j'ai pu récolter sur notre peuple...Ma vie de mercenaire n'était qu'une vaste couverture, destinée à me permettre d'aller n'importe ou dans la galaxie sans attirer l'attention et avoir des revenus suffisants. Mon véritable but était de faire renaitre la nation Mandalorienne telle qu'elle aurait toujours dûe rester : noble, fière, honorable et autonome
...( la qualité se brouille, il manque des morceaux )...Kerv...prend garde...mandaloriens...pirates et bandits...Mandalore lui même...unité Alpha...recherche...Kerv, je suis sûr qu'il existe un moyen de ramener notre peuple dans la bonne...
L'holodisque se coupa net.
Ces informations, n'étaient pas tombées dans l'oreille d'un sourd. Aussi dès lors, j'entrepris de poursuivre l'oeuvre de Terchon O'dubban, mon père. En tant que mercenaire, mais aussi et surtout en tant que mandalorien fidèle à ses origines.
Voici donc un nouveau départ dans ma vie, un but que je me fixa et tant que mandalorien...soit j'échouais et je mourrais, soit je le menais à bien.
Quand on est l'élite, il n'y a pas d'echec possible, pas d'alternatives. La défaite ou la victoire...définitives...