Chapitre 1: Prise de Fonction (Fenrir)

Arrivée un petit peu plus tôt se matin, Fenrir avait regardé avec dégoût la vaste ville de Coruscant qui recouvrait toute la planète. Non pas qu’il avait la moindre chose contre les villes, dans lesquelles il avait au passage passé la majeur partie de sa vie, mais plutôt qu’il était consterné par le manque d’autodiscipline qui avait conduit à cette situation. Aux lieux de strictement consolé leurs urbanisme comme cela avait été le cas sur Anaxes et de refouler les indésirables, les habitants de Coruscant s’étaient laissé allé et avait laisser la ville recouvrir toute la planète, détruisant au passage la nature, puis s’entasser niveau sur niveau. Fenrir en était convaincu il ne pouvait rien naître de bon d’une telle anarchie et d’un tel entassement de population. La solution idéal au yeux de Fenrir serait de déplacer une partie de la population, mais une fois de plus ces hippies de journaliste allaient criée au scandale. Enfin bon ce n’était pas sa principale préoccupation, que le peuple se vautre dans la fange si cela lui plaisait, Fenrir lui avait des choses beaucoup plus importante à faire.
En effet aujourd’hui il devait se rendre dans une annexe du palais impérial servant de QG au renseignements afin d’y prendre sa première affectation. Qu’allait-elle lui réservé? Fera-t-il partit des équipes chargé de débusquer les traîtres? Celles chargé des opérations de déstabilisation pour le plus grand bien? Il n’allait pas tardé à le savoir. En attendant dans son bel uniforme des renseignements, Fenrir pressa le pas pour franchir plus rapidement les quelques dizaines de mètres qui le séparait de sa destination. Non pas qu’il était en retard, il était comme d’habitude légèrement en avance car il haïssait le manque de ponctualité, mais cependant il était impatient de commencer sa carrière.
Au passage il croisa un Rodien qui marchait vers une destination inconnue. La cicatrice de Fenrir se mit instantanément à le picoté. C’était un Rodien qui la lui avait fait, ici même sur Coruscant. Pauvre racaille, puissiez vous tous finir au secteur invisible pensa-t-il.
Puis enfin il pénétra dans un vaste et magnifique hall, et marcha d’un pas assuré vers l’une des hôtesses d’accueils.

-Bonjour, je suis le Sous-lieutenant Fenrir, je vient prendre ma nouvelle affectation ici. Numéro de dossier: IB-47, j’ai rendez vous dans six minutes.

Fenrir toisa avec mépris les Storm qui le saluait mollement, décidément la discipline se relâchait à Coruscant, à Anaxès jamais des simples soldats aurait été aussi moue avec des officiers, fussent-ils au grade le plus bas. Mais cependant ce n’était pas son affaire pour le moment. Fenrir déambula donc à la suite du soldat dans ces immenses couloirs à l’architecture aussi magnifique qu’ordonné. Il considérait cette étalage de richesse comme du pure gaspillage étant donné qu’au bas mot le budget des décoration de ce palais aurait suffit à équiper plusieurs régiment de Stormtrooper. Mais hélas parfois avec les masses trop crédules la vision de la puissance était encore plus importante que la puissance elle-même. Une leçon que Fenrir ferait bien de retenir.
En entrant dans le bureau Fenrir prit grand soin de saluer le colonel comme il se le devait et ne s’assit que quand ce dernier l’y autorisa d’un signe de tête. Il écouta attentivement son discours et ressentit une pointe de fiereté quand on lui annonça qu’il était l’un des plus prometteurs. Cependant le Colonel modéra immédiatement son enthousiasme en lui faisant bien comprendre qu’il n’était pas au dessus des autres. Le jeune lieutenant eu un bref hochement de tête indiquant qu’il avait bien comprit. Cette homme de par son age et son attitude semblait être l’archétype même de l’officier compétent et directe qui devait sans doute sa place plus à ses résultats qu’à d’éventuel relation. Une preuve de plus que la propagande des nostalgiques de la république selon laquelle les officiers impériaux progressaient uniquement par piston était infondé. L’homme plus donc immédiatement aux jeune officier qui lui accorda immédiatement son respect, même si en homme avisé il réserva son jugement à plus tard, quand il connaîtra un petit peu mieux.
Puis il se passa une chose étrange à laquelle Fenrir ne se serait pas attendu, le colonel lui accorda le choix de sa futur affectation. Voilà qui était étonnant pour une structure militaire, mais qui dans le fond se tenait. En effet plutôt que d’affecté au hasard ses hommes il tenait si possible compte de leurs préférence. Après tout on était plus efficace quand on aimait ce que l’on faisait.

-J’aurais besoin d’une minute ou deux pour y réfléchir monsieur.

Fenrir s’accorda donc un moment de réflexion car de sa décision allait dépendre le reste de sa carrière. Déjà il repoussa immédiatement la première et la cinquième proposition qui dans les deux cas était un travail qu’il n’aimait pas trop et un travail manquant sérieusement de perspective d’avenir. En effet les opportunité de promotion rapide devait manqué dans ces branches qui en plus n’était pas si vitale que cela, même si elles étaient relativement importante. Après réflexion il choisit finalement parmi les trois restant la section des internes. Car en effet quoi de plus beau que de veiller à chasser les derniers réstes de corruption, antique reliquat de la république et de purifier les rangs impériaux des gens indignes d’y servir? C’était le meilleur moyen de garantir un régime juste et bon qui pourrait durée des milliers d’année.

-J’ai choisit, je souhaiterais être affecté au affaires internes monsieur.

Fenrir était curieux d’en savoir plus sur son supérieur, dont il ignorait tous pour le moment, mais il ne s’inquiéta pas, ça n’allait probablement pas tardé à venir. En effet les gens étant ce qu’ils étaient il ne faisait aucun doute que de nombreuses rumeurs et rago de vait circuler sur toute personne un tant soit peu importante. D’ailleurs un jour ou l’autre il allait forcément en avoir sur Fenrir, il devait donc s’exercer à contrôler l’image qu’il donnait. Car après tous une réputation pouvait être aussi utile que dévastatrice et il convenait donc de la gérer au mieux. Fenrir allait donc y réfléchir. Mais peut être que Bredzel l’avait bien comprit lui aussi et qu’il projetait une fausse image pour rassurer et endormir le monde pendant qu’il faisait ses petites affaires bien tranquillement. Car au vue de son age cet homme avait du servire dans les renseignement de la république ou de l’un des états membres et il n’était certainement pas arrivée là par sa gentillesse et sa compréhension.
Puis le jeune lieutenant écouta avec amusement son supérieur cerné avec précision ses motivations dans son choix de carrière. Il est vrai qu’il ne fallait pas forcément être un grand génie pour deviner des raison aussi simple, mais cela nécessitait tous de même un certain sens d’observation. Cet homme n’était donc pas à sous estimer sinon cela pouvait se retourner contre lui.
Puis Fenrir apprit qu’il allait logé avec les cinq autres nouveau arrivants. Et bien Fenrir qui s’était imaginé de luxueux appartement d’officier comme sa chambre sur Anaxes, voilà qui était raté. Logé avec des péquenaud sans noblesse allait être assez difficile, mais cependant l’officier allait devoir s’habituer à côtoyer la fange donc autant s’y habituer tous de suite. Tant qu’ils étaient humain et qu’ils ne foutaient pas le bordel ça pouvait aller, dans le cas contraire cela risquait de mal se passé, mais Fenrir avait l’habitude de s’imposer.
Puis il apprit l’objet de sa mission, prouver la culpabilité d’un traitre pour un tribunal militaire. L’objectif était assez simple, mais Fenrir allait avoir besoin
de plus d’information.

-Monsieur, à Anaxès puis à Carrida nous ne suivions pas trop les holo actualité de Coruscant, aussi j’aurais besoin de plus d’information sur cette affaire. Je voudrais également savoir quel poste occupait cet agent, à qui il est accusé d’avoir transmit des information, son dossier et sa localisation si possible.

En ce qui concernait l’affaire présente, Fenrir voyais désormais un petit peu plus claire. Une gradé avait décidé pour une raison mystérieuse d’aider un terroriste, sans doute par intérêt personnel et l’agent Talpc l’avait donc couvert. Aider des terroriste menaçant la stabilité même du régime, franchement quel idée. Cette petite sotte et son idiot de subordonné gâché tous ce pour quoi il s’était battu et avait sans doute causé plus de tord qu’autre chose à l’Empire. Qui pouvait dire combien de soldats allaient mourir à cause d’elle, combien d’argent qui aurait pu être mieux employé l’Empire allait gâché à réparer ses erreurs? En tous les cas elle était morte et elle l’avait déjà payé son crime, il ne restait donc plus que Talpc à punir. Lui qui aurait pu stoppé dès le début sa supérieur l’avait bêtement laisser faire et l’avait même aider. Il allait donc devoir assumer ses erreurs.
En tous les cas le colonel semblait d’après sa carrière une femme très réfléchit et elle ne s’était sans doute pas entouré d’incompétent. D’autant plus que son père ayant été Moff pendant une certaine période elle avait sans doute les moyen tant politique que financier de bien s’entourer. Il allait donc falloir se méfier de cet agent qui était sans doute loin d’être le premier abrutis venue. Il était traqué par les forces impériales et il le savait, il était donc probable qu’il se soit terré quelques part sur Coruscant. Il aurait pu tenter de s’enfuir mais l’Empire devant surveiller attentivement les vaisseaux sortant il était trop risqué de partir maintenant. Non le plus prudent serait de se dissimuler dans les niveaux inférieur que l’Empire avait du mal à contrôler et d’attendre que la surveillance se relâche pour glisser entre les mailles du filé. C’est en tous les cas se que Fenrir aurait fait à sa place.Pour le reste étant un informaticien, les preuves de sa culpabilité devait être essentiellement sur informatique, le jeune officier des renseignements savait donc déjà quoi chercher. Mais pour le moment il n’en savait pas encore assez, il avait tous juste un nom et une profession. Il lui fallait plus.

-Colonel, une dernière demande et après je ne vous ferais pas perdre plus de temps. Je voudrais d’une part son dossier avec sa photo pour le reconnaître si je le croisais et d’autre part si je doit appeler des renforts si jamais je le localise où si je doit l’appréhender moi-même. Pour le reste je suppose que vous avez déjà perquisitionné son domicile et son lieu de travail?

Le colonel semblait évaluer Fenrir, il fallait dire que c'était là leur première rencontre et par conséquent leur premier entretien. Un homme et par la même occasion un soldat, était jugé des ses premières prestations, difficile de dire si le jeune homme faisait bonne impression ou non mais à en croire les réactions de Fedzel, Fenrir commençait bien. C'était ça de pris pour lui, au final, il était affecté à un poste qu'il avait désiré et il serait loger au frais de l'Empire. Il y avait pire pour commencer sa carrière, après il n'était pas certain que son rythme de travail soit agréable. Et puis, il avait tout autant une lourde responsabilité, sans parler de la pression qui risquait d'être présente plus souvent qu'il ne le voudrait. Le colonel analysa la réponse du jeune homme, il ne répondit pas tout de suite, en fait, il y eut comme un gros blanc... bien pesant! Fenrir avait-il dit quelque chose qui ne fallait pas? Après tout, c'était logiquement possible, parfois il suffisait d'un seul petit mot pour qu'une conversation s'échappe. S'il était moins grave de perdre le controle d'une conversation avec des amis, ça l'était beaucoup plus quand on était face à son supérieur, dans une organisation comme l'Empire.

- Très bien, Lieutenant, je vais vous fournir ça. L'agent Talpc avait un bureau plus ou moins connu, autant dire qu'il a été fouillé de fond en comble et que cela n'a rien donné. Talpc est un petit malin, il y a de fortes chances qu'il se soit débarrassé des éléments gênants dans son bureau, qu'il les ait transféré d'un endroit à un autre. Nous soupçonnons Talpc d'avoir un autre bureau, celui qui lui servait à ne s'occuper que des affaires du colonel. D'après nos rapports, il n'était que rarement dans son bureau officiel, cela n'a rien d'étonnant. Si vous trouvez son bureau, vous trouverez certainement des preuves et sans doute des révélations. Mais ne vous occupez que de ce qui nous intéresse.

Le colonel transmit une puce au lieutenant, il trouverait dedans les informations qu'il attendait, en plus de celles qu'on venait de lui donner. Visiblement l'entretien était terminé, d'ailleurs deux storm venaient d'arriver.

- Ces messieurs vont vous accompagnez jusqu'à vos nouveaux quartiers. Rompez lieutenant.

[Fenrir gagne 450 xp pour son entretien de passage réussit]

Fenrir avait bien remarqué que l’homme qui lui faisait face était en train de l’évaluer et de se forger une opinion sur lui. Fenrir se félicita donc d’avoir commencé à essayer de contrôler l’image qu’il donnait, cela ne pouvait qu’être bénéfique dans son entretient. Et puis assez rapidement Fenrir l’avait constaté, la première impression que l’on donnait était vitale et déterminer grandement l’opinion à venir qu’on aurait sur lui. Par exemple à Carrida durant les premiers jours, remonter à bloque Fenrir avait fait du zèle et s’était grandement impliqué. Puis par la suite il s’était un peu calmé et rentré dans les rangs. Pourtant malgré tout durant toute sa formation plusieurs de ses instructeurs avaient gardé de lui l’image d’un homme sérieux et zélé. Ce qui n’était pas faux étant donner qu’il n’avait pas fait partie des abrutis ayant démonté le bureau du capitaine, dispersé les morceau dans l’académie, puis lui avoir laisser gracieusement un plan à la place pour l’aider à le retrouver (hp: blague réel d’un amis qui en en lycée militaire). Mais en même temps il ne s’était montré zélé que durant les premiers jours…
Pour le reste, Fenrir resta de marbre pendant le silence du colonel qui l’observait, gardant un visage sérieux et intéresser sans se laisser démonter le moins du monde. Là encore il se devait de faire bonne impression. Mais intérieurement il se demandait s’il n’était pas aller un petit peu loin en osant réitéré une demande à laquelle son supérieur n’avait pas répondu. Certes c’était une demande tout à fait logique et sans elle il n’avait aucune chance de réussir sa mission sans elle, mais peut être avait-il inconsciemment sans l’avoir voulu, tenté de forcé l’autorité de son supérieur. Dans ce cas là, alors il avait singulièrement manqué de tact et il aurait mérité une punition. Car pour le jeune officier le respect de la hiérarchie était l’une des principales différences entre une armée et un groupe de saoulard munis d’armes. A moins que ce ne soit sa demande sur ce qu’il devait faire s’il se trouvait face à Talpc. Peut être le connaissait-il et ne souhaitait-il pas le voir malmener…
Puis le Colonel fort heureusement pour Fenrir, décida visiblement de ne pas en prendre ombrage et il donna à Fenrir ce qu’il souhaitait. Mieux il décida même de lui donner des information supplémentaire en lui révélant que Talpc avait probablement un autre bureau. Voilà qui était très intéressant et qui donnait une première piste au jeune officier des renseignements. Et Fenrir savait dors et déjà comment l’exploiter pour retrouver l’agent, il allait juste lui falloir un accès holonet qui était sans doute fournis dans le logement de fonction. Mais il allait voir plus tard pour cela.
Par compte Fenrir remarqua que pour la seconde fois de suite, Fedzel éludait de ses question en faisant comme s’il ne l’avait pas posé. Simple hasard? Ou était-ce liée? Fenrir avait plusieurs moyen d’interpréter cela. Cela avait pu vouloir dire successivement « essaye de te débrouiller seul », puis « Ne l’appréhende pas fait simplement ton job », ou alors cela voulait dire qu’il ne voulait pas que cette mission aboutisse d’abord en ne lui donnant pas les éléments nécessaire, puis en ne lui ordonnant pas d’arrêter Talpc. Enfin bon il allait voir cela.

-Bien monsieur, j’exécuterais ma mission dans les plus bref délais.

Puis d’un signe de tête Galaad fit signe au soldat d’ouvrir la marche, inséra l’holopuce dans son data pad et commença à lire le dossier de Talpc en faisant attention à ce que les storms ne voient pas. Il cherchait notamment son lieux de naissance et son enfance et ses relation sociale, ainsi que ses relevé bancaire si ces derniers figurait dans le dossier.

On pouvait effectivement dire que le colonel lui avait fait une drôle d’impression et que Fenrir ne savait pas trop quoi en penser. Mais cela devait être normal, car les services secrets portaient très bien leurs nom et il était toujours difficile de pouvoir cerner leurs membres et de savoir ce qu’ils avaient en tête. D’autant plus qu’ils se mêlaient souvent de politique, si cela se trouve Fedzel se servait juste de Fenrir pour monter en grade et lui avait donné peu d’instruction afin qu’en cas d’échec il se retrouve dédouaner de toute implication.
Pusi Fenrir visita rapidement les appartements, en déplorant devoir sans cesse vivre avec d’autres personnes alors qu’il aurait préféré de loin une tranquille solitude. Mais au moins chacun avait le droit à un petit espace personnel, ce qui était déjà ça Fenrir sans aucune gène s’attribua celui qui lui sembla être le meilleur et le plus pratique en balançant son sac sur le lit et en verrouillant la porte. Après tout il avait l’honneur d’appartenir à l’aristocratie militaire d’Anaxès, quoi de plus normal que ces quartiers lui reviennent de droit. Au passage il se livra à un petit bricolage, il tira un petit peu sur la touche d’ouverture jusqu’à ce qu’elle ai un minimum de jeux. Ainsi lorsqu’on appuyait sans s’en rendre compte on remettait la touche en place supprimant le jeu. Jeu qui au passage était si léger que sans savoir sa présence il était difficile de s’en rendre compte. Ainsi le jeune officier des renseignement pourrait être au courant de toute intrusion dans ses quartiers en cas d’absence.
Puis Fenrir consulta soigneusement le dossier de Talpc. Déjà il avait eu son diplôme sur Coruscant, or à moins d’être un allien il avait du avoir un minimum de contactes sociaux et donc noué éventuellement quelques amitié avec un ou deux binoclard boutonneux dans son genre. Des gens qui pourraient éventuellement couvrir Talpc dans sa fuite. Ensuite il était née sur Dantooine… Mouais à moins qu’un membre de sa famille ou communauté ne soit ici cela n’allait pas trop l’avancé. Malgrès une absence de liaison personnels il fréquentait une sorte de cercle d’informaticien professionnels. Il était fort possible qu’il y ai retrouvé des amis ou rivaux de la fac. Cependant étant intelligent il avait du se douter que l’on chercherait d’abord ici et que donc il n’avait pas intérêt à se cacher auprès d’eux. Mais en même temps à force de les fréquenter il n’avait pas pu empêcher ces informaticien de savoir une ou deux petite choses sur lui, c’était donc une piste à explorer. Fenrir s’habilla donc en civil en et partit donc à ce mystérieux quartier général.

Dès qu’il vit ce gars, Fenrir le plaça immédiatement dans la catégorie «　gorille sans cervelle aisément manipulable　». Et ses propos ne firent que valider ma première impression du jeune officier des renseignement. Ce gars là était un rustre qui semblait grandement apprécier la violence et qui était donc parfaitement à sa place dans la section qu’il avait choisit. Il semblait de plus assimiler acte sanglant et courage, comme si le courage avait à voir avec le fait de torturer. La torture était plus un art subtile qu’il fallait savoir manier pour faire progressivement mais sûrement, s’effondrer la résistance mentale du sujet avec des actes de violence physique savamment dosé. Si on s’y prenait correctement on pouvait même parvenir à retourner quelqu’un contre son camps d’origine grâce à ces méthodes… Fenrir se demanda si ce gorille qui était plus un gros bras qu’autre chose allait réussir à s’en tirer. Mais bon peut être allait-il avoir son utilité quand un déchaînement de violence allait s’avérer nécessaire et sans doute allait-il être supervisé par quelqu’un de plus gradé que lui. En tous les cas ce n’était pas le genre d’homme avec qui Fenrir arriverait à sympathiser, mais cependant il jugea plus prudent de le ménager en attendant de connaître les autres, et aussi parce que un jour une personne dans son genre pourrait sans doute être très utile.

-Effectivement, je suis le Sous-lieutenant Fenrir des affaires internes. Et crois moi mon travail risque de promettre pas mal d’action, même si ce sera sans doute moins régulier que dans le tient. Bon sur ce tu m’excusera mais je doit déjà y aller, j’ai du boulot. Avec un peu de chance je vous fournirais du travail à toi et tes collègues d’ici à ce soir!

Et sur ce Fenrir partit définitivement dans la ville haute afin de pouvoir commencer son enquête. Après tout il n’allait pas laisser un vulgaire barbouze du genre d’Azim lui faire perdre un temps précieux pour son travail!

Fenrir trouva très amusant d’être sous estimé et prit pour un idiot par un homme qui justement était victime exactement du même comportement de sa part. Mais en même temps être considéré comme un idiot et un faible pouvait aussi avoir son utilité. Après tout avant d’être Empereur, Palpatine lui-même avait longtemps été considéré comme un politicien de seconde zone relativement désintéressé. Qui sait, peut être qu’un jour grâce à cela il pourrait se servir de cet homme. Après tout un jour ou l’autre on avait tous besoin d’un gorille.
Mais alors que Fenrir allait partir effectuer sa mission un autre de ses colocataire arriva. Le jeune officier comprit immédiatement qu’il n’allait pas réussir à échapper aux présentation. En effet vu le débit de nouveau arrivant et l’aspect méthodique du travail du colonel, à peine Fenrir allait-il avoir l’occasion de se présenter et de s’esquiver déjà un autre allait arriver. Bref il allait devoir prendre sur lui et assumer un retard de plusieurs minutes. Mais qui sait peut être cela allait lui faire gagner du temps un peu plus tard.
Le gars à qui il avait affaire était au service d’espionnage, service qui comme tous ceux des RI portait un nom assez révélateur. Cependant contrairement à ce qu’il lui dit, Fenrir ne se fit pas trop de soucis quand à un éventuel espionnage entre camarade. En effet après tout, ça c’était son boulot à lui, l’espionnage ne devait normalement que s’occuper des individus extérieur à l’Empire. Cependant il était vrai qu’il n’était pas exclus que ce service ou le représentant du dit service qu’il avait devant lui, ne fassent pas un jour un petit peu de zèle, quitte à sortir de leurs domaines d’attribution. Le jeune officier avait donc tout intérêt à bien se tenir s’il voulait éviter les problèmes. Et puis avoir un collègue au courant de nombreuses choses ou qui avait l’opportunité de les apprendre, voilà aussi qui n’allait pas manqué d’utilité.

-Enchanté Lieutenant, je suis moi-même le lieutenant Fenrir des affaires internes. Un département assez proche du votre, même si le domaine de juridiction n’est pas le même. Je suppose qu’effectivement notre prochain ou prochaines camarades ne devrait plus trop tarder…

Fenrir avait sans doute raison, il n'échapperait pas à la venue de tous ses colocataires, sans doute que le colonel avait prévu les choses ainsi, pour que le groupe se connaisse assez rapidement et qu'il n'y ait pas de découvertes de dernières minutes, c'était sans doute aussi un moyen de resserrer les liens, parce qu'ils sortaient tous de l'école impérial et qu'ils avaient accès à leur premier poste, c'était de fraiches recrues qui avaient besoin de faire leur preuve. Fenrir s'étant déplacé à l'arrivée de Ass, ils étaient à présent dans le salon. Rett s'assit de façon décontracté sur un des canapés, le lieutenant fit de même sur celui d'à côté mais avec un peu plus de retenu, il fallait dire que c'était deux genres et deux styles différents. Fenrir lui-même sortait du lot, il ne ressemblait ni à l'un ni à l'autre. La porte s'ouvrit, ce fut une femme en uniforme qui débarqua. Rett siffla, visiblement il l'a trouvait à son gout, ça en apprenait un peu plus à Fenrir sur la mentalité du lieutenant. Autant dire qu'il devait faire parti de ceux qui prenaient les femmes officiers pour des objets plus que pour des collègues. Ass regarda simplement la jeune femme arriver avec un sourire, il ne faisait pas de commentaires désobligeants ou quoique ce soit, ça avait l'air d'être un bon lieutenant, après les apparences pouvaient être trompeuses. La jeune femme, aux cheveux bruns et au regard océan s'arrêta près d'eux, elle fit un bref salut militaire mais qui était plutôt souple avant de prendre la parole.

- Vous devez être le lieutenant Fenrir, vous Ass Hett et.... Je suppose Rett Azim? Lieutenant Kagu Misk, lieutenant affiliée au département de la surveillance industrielle. Nous aurons peut-être l'occasion de travailler ensemble, en attendant, je vous préviens que le premier qui organise une fête de lieutenant ici aura à faire à moi.

Et bien ça promettait! Ass fit un sourire plus appuyé, il semblait d'accord sur le principe. Rett fit un sourire qui était plus moqueur, sans doute que pour sa part, il trouvait les fêtes occasionnelles dignes d'intérets et puis si on ne pouvait même plus se détendre un peu, ça en devenait vraiment fade non? En tout cas, il ne manquait plus qu'un lieutenant et le groupe serait au complet!

Le petit groupe s’étant déplacé au salon chacun avait donc prit sur lui de s’asseoir sur les canapé. Sans surprise Rett s’affala dessus d’une manière fort peu élégante. Mais en même temps à quoi d’autre pouvait-on s’attendre de sa part? Ass quand à lui s’assit avec davantage de distinction, bien que lui aussi adopta le style décontracté. Le jeune officier pu alors constater que des deux Ass était sans doute celui dont il fallait le plus se méfier. En effet son attitude dénotait une intelligence qui allié avec une certaine discrétion était difficile à évaluer avec précision. Bref il semblait taillé pour son département. Après le tout allait être de déterminer si Ass était plutôt du genre désintéressé à ne penser uniquement qu’au bien de l’Empire, ou s’il accordait surtout de l’importance à sa carrière personnel. Son petit doigt disait à Fenrir qu’il allait sans doute avoir bien du mal à le déterminer et que même s’il y arrivait il ne pourrait jamais savoir avec certitude si le Lieutenant ne le dupait pas. Et à ce sujet on pourrait se demander si Fenrir était-il plutôt du genre patriote ou égoïste. La réponse était en toute honnêteté qu’il se situait entre les deux. Il accordait une très grande importance aux régime impérial et ferait tout pour le sauvegarder. Mais à coté pour servir au mieux l’Empire il avait en vu une très grande carrière, aussi s’il trouvait un moyen d’ascension rapide dans la hiérarchie il n’allait pas se priver. C’est donc assis bien droit les bras croisé que Fenrir attendit avec ses camarades l’arrivée de leurs collègues.

Et c’est ainsi que Fenrir pu voir débarquer l’unique élément féminin du groupe de Lieutenant allant partager cet espèce de studio. L’un des collègues de Fenrir manifesta peut discrètement ses pensé envers la jeune femme, ce qui renforça le jeune officier dans l’opinion qu’il avait de lui. Il était bien entendue inutile de préciser duquel il parlait. Et Fenrir que pensait-il des femmes? Et bien contrairement à son collègue il les connaissait trop bien pour les sous estimer et les considérer comme de simples objet. Certaines étaient tout aussi voir plus intelligente que lui et d’autre bien plus dangereuses que ne pourrait jamais l‘être le jeune officier. Donc il considérait les femmes comme des personnes et non comme de simple objet. D’autant plus que pour avoir une amie bien née qui était une grande manipulatrice et qui en avait remontrer à Fenrir lui-même, il savait que certaines femmes pouvaient très bien utilisé ce genre de stéréotypes à leurs avantages pour manipuler les hommes. Aussi, aussi développé soit-il, Fenrir se forçait à ne pas se laisser guider par son bas ventre.

Au salut militaire de la jeune femme Fenrir répondit d’une façon tout aussi décontracté. Ce salut laissait supposer que tout comme Fenrir la jeune femme accordait une certaine importance à la discipline, ou qu’elle était attaché à l’armée, à moins qu’elle tenait à établir des distances professionnels entre eux.
En tous les cas la jeune femme bossait au département de la surveillance industriel, ce qui ne pouvait se faire sans une certaine connaissance de la technique et donc sans certain diplôme ou certain savoir faire. Elle était donc très certainement à des année lumières des pin bêche blondes qu’il avait l’habitude de fréquenter. Elle était donc à prendre avec autant de précaution qu’Ass, même si Fenrir avait plus tendance à ce méfier de l’espion que de la jeune femme.
En tous les cas dès qu’elle parla de travailler ensemble une idée germa dans l’esprit de Fenrir. S’il avait été dans un dessin animée une ampoule se serait allumé au dessus de sa tête dans un grand «　TILT　». La jeune femme avait probablement de grande connaissance technique, Fenrir traquait un informaticien de génie. Elle pourrait peut être lui être d’une aide très précieuse… En tous les cas Fenrir prit la résolution de ne pas partir ou la laisser partir avant de lui avoir parler. En attendant il n’avait plus qu’a faire les présentation d’usage.

-Enchanté, je suis effectivement le Lieutenant Fenrir de la surveillance interne. Et pour la fête ne vous inquiétez pas, je ne pense pas que ce soit vraiment le style de la maison. Après tout on est des officier et non pas de simple troufion. En tous les cas en attendant le lieutenant Shif Hon de la territoriale asseyez-vous, même s’il ne devrait plus trop tarder.

Fenrir remarqua immédiatement que son discours avait plutôt plus à la jeune femme qui s’assit rapidement à côté de lui. C’était une très bonne chose car dans l’immédiat elle allait lui être très utile pour sa traque de preuve contre l’agent Talpc. Peut être le connaissait-elle au moins de réputation et allait-elle lui fournir de précieuse information. Où peut être connaissait-elle très bien les petit génie dans son genre et allait-elle lui fournir des information tout aussi précieuse. Et puis même pour la suite connaître quelqu’un ayant de grande connaissance technique n’allait pas manqué d’utilité. Concrètement parlant Misk allait donc lui être la plus utile des quatre. Cependant les autres n’étaient pas non plus à négliger comme l’avait déjà montré les réflexion précédente du jeune officier. D’autant plus que leurs affectation commune démontrait que l’on attendait beaucoup d’eux et que chacun devait avoir dans son domaine de très grande capacités. Ce qui les rendaient tous aussi utile que dangereux. Fenrir avait donc sous la main un spécialiste en infiltration et capture d’information, un combattant brutal, une spécialiste en technologie, et un spécialiste des cultures extérieurs. Bref un très large panel.

Panel qui fut d’ailleurs enfin complété par le dernier arrivée, le Lieutenant Shif Hon, de la territoriale. C’était visiblement le plus jeune de tous et il avait une expression de dureté sur le visage. En avait-il vu des vertes et des pas mûres? Était-il un grand misanthrope? Tenait-il à établir une certaine distance entre eux, tout comme aurait pu vouloir le faire Misk avec son salut? En tous les cas ce gars avait l’air d’être un dur à cuire, même si c’était dans un autre registre que celui de Hett. Sa présentation des plus sommaire démontra une grande tendance à la solitude. Un électron libre en somme. Très pratique pour ce genre de job, mais le problème était qu’avec quelqu’un d’aussi renfermé on ne pouvait jamais être sur de rien. Or en tant que membre de la surveillance interne Fenrir se doutait bien des raison qui avait fait qu’on les ai réunis ici. Outre l’avantage de pouvoir liée les membres de différents services entre eux pour plus d’efficacité, cela allait aussi permettre de mieux les surveiller. L’appartement était sans doute sur écoute, et^on devait sans doute s’attendre du jeune officier à ce qu’il ai à l’œil ses camarades même si on ne lui avait rien dit. Fenrir se promit donc d’ouvrir l’œil et de faire attention à ce qu’il disait ici.

-Bien messieurs dame, nous voici donc tous réunis. J’espère que notre
cohabitation va se dérouler pour le mieux. J’aurais bien partager un pot de bienvenue mais outre les vertu abrutissante de l’alcool j’ai pour ma part dors et déjà du travail à faire, et je suppose que le colonel a dû vous en confier à vous aussi…

Une façon plutôt courtoise de permettre à chacun et à Fenrir en premier lieu de se tirer. D’ailleurs à ce sujet Fenrir pariait 50 crédits que Sif Hon n’allait pas être le dernier à sortir. Mais là n’était pas le sujet, Fenrir se tourna vers la jeune femme et lui dit doucement.

-Lieutenant Misk, je ne voudrais pas abuser de votre temps, mais j’aurais des conseils à vous demander à l’abris des oreilles indiscrète pour mon travail. Cela vous dérange?

Fenrir adorait ce genre de phrase où la politesse se mêlait à des question qui faisait croire à l’interlocuteur qu’il avait le choix, alors qu’en réalité　la convenance et les bonnes manière ne laissait qu’une seul réponse possible. Et le plus beau dans tous cela était que par la suite l’interlocuteur se sentait engager par ses actes pouvant être ainsi manipuler. Par exemple si l’on demandait spontanément 2 crédits à des passants dans la rue, seul 1 sur 10 allait vous les donner. En revanche demander d’abord l’heure puis ensuite les crédits faisait monter le taux de généreux à 4 sur 10 (cf: Ceci est une vrai étude sociologique IRL^^) . Donc 3 personnes qui n’aurait rien donné en temps normal se retrouve à donner de l’argent. Bien entendue quand on demandait l’heure l’autre pouvait toujours refuser, mais qui allait le faire? Phénomène intéressant à connaître mais qui hélas ne fonctionnait pas dans la durée, il fallait formuler sa demande immédiatement après. Dommage que pour le moment Fenrir n’ai absolument pas à s’en servir avec Misk. Mais il était impatient de s’en servir un jour pour manipuler ces idiots de roturiers…

Fenrir suivit donc Kagu dans la cuisine afin de pouvoir y parler à leurs aises. Fenrir s’adossa donc tranquillement à un meuble de façon à remarquer immédiatement toute personnes indiscrètes s’approchant un petit peu trop prêt de la cuisine, mais prit bien soin de rester hors de vue au cas où leurs amis espion savait lire sur les lèvres. Fenrir ne voyait pas ce qu’il pourrait faire de cette affaire, mais on était jamais trop prudent. Si jamais ce gars était un agent double de la résistance il pourrait très bien s’arranger pour retrouver Talpc avant Fenrir et le recruter.

Pour ce qui était du lieutenant Misk elle devina sans surprise l’objet de la requête du jeune officier. En même temps il ne fallait pas être un génie pour comprendre sur quoi pouvait bien travailler un membre des affaires internes. En revanche elle sembla se méprendre sur les potentiels intention de Fenrir en lui disant tous net qu’elle refuserait de coucher avec lui. Fenrir paraissait-il donc aussi lubrique qu’un sith pour qu’elle lui balance ça en pleine figure? Était-ce la cicatrice et le côté louche qui s’y rattachait qui lui avait donner cette impression? Non ça ne devait probablement pas venir de lui, après tout il faisait beaucoup d’effort pour contrôler les impressions qu’il donnait via son apparence. Et puis quand on y réfléchissait bien la réaction de la jeune femme était somme toute assez logique. D’un côté les sifflement de certain à son entré avait dû douloureusement lui rappeler que pour certain peu importe son talent et son travail elle resterait une femme et donc d’office serait inférieur aux hommes. Se mettre donc à fréquenter ses collègues au-delà de la simple amitié serait donc prêter le flanc aux attaques de tels personnes. Sans parler du fait que coucher avec ses collègues risquait de ne pas trop être pour la faire respecter. Et puis il y avait aussi le fait que les traits aristocratique de Fenrir et le beau visage qui lui avait était légué par ses ancêtres faisait toujours un petit effet à la gente féminine. D’entrer il avait semblé par son discours marqué des bon points auprès de la jeune femme. Peut être lui avait-il tapé à l’œil et essayait-elle d’établir une distance pour être sur qu’il ne se passe rien… En tous les cas Fenrir se devait de répondre

-Vous savez on est pas chez les Twi-lecks, comme tout bon officier impérial je ne couche pas avec n’importe qui. Et puis mêler sentiment et travail ne peut qu’être source d’ennuis… Pour en revenir à notre affaire il se trouve qu’un petit génie en informatique, spécialiste en résaux informatiques pour être plus précis, est soupçonné d’avoir fournis des informations à de dangereux terroristes avec son supérieur, puis d’avoir dissimuler la trahison du dit supérieur. La fuite de cet homme ne fait que renforcer les soupçon qui pèsent sur lui. Je doit réunir les preuves de sa culpabilité. Je me suis donc dit que d’une part vous pourriez me renseigner sur les formes que pourraient prendre de tels preuves et d’autre part me donner l’endroit le plus pratique pour installer un second bureau secret afin d’y faire ses petites affaires.
　

Fenrir remarqua qu’étrangement Ass était le seul à être resté sur le canapé. Était-ce un pur hasard si l’espion du groupe était le seul qui traînait à proximité? Avait-il trouvé un moyen ou un autre d’entendre l’ensemble de la conversation. Et si oui dans quel but? Voilà qui était intriguant et qui allait demander réflexion. Mais après tout, peut être Fenrir était-il simplement paranoïaque et en réalité Ass se contentait simplement de se reposer ou avait quelque chose à demander lui aussi à Kagu.
Si c’était vraiment le cas le jeune officier espérait sincèrement pour lui qu’elle allait lui être d’une plus grande aide que ce qu’elle lui avait été, car Fenrir fut plutôt déçus par les information qu’elle lui avait donner. En effet tout ce qu’elle lui avait apprit Fenrir l’avait déjà deviné avant son arrivée et rien de ce qu’elle lui avait dit n’allait lui apportait une quelconque aide. Dommage car une tel aide n’aurait pas été de trop, car comme elle n’avait pas manqué de le lui faire remarquer, cette affaire était loin d’être la plus simple.
Car sans réel surprise elle était elle aussi au courant de cette histoire. Décidément tout Coruscant devait l’être, il allait donc falloir se méfier et agir avec des pincettes s’il ne voulait pas se faire griller dès qu’il allait poser la moindre question à quelqu’un pouvant connaître Talpc. Car toute ses connaissance étant au courant, tous le monde devait s’attendre à ce que l’Empire envoie ses agents pour enquêter sur lui. Il fallait donc employer une manière détourner d’aborder le sujet. Mais là encore cela risquait d’être suspect.
-Bien je vous remercie, je vais donc y aller et voir si ‘obtient quelque chose. A tout à l’heure…