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| Histoire du seigneur sith Zalera. | |
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Neo Mayhem Apprenti
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| Sujet: Histoire du seigneur sith Zalera. Dim 6 Déc - 18:48 | |
| Chapitre 1 : Décadence
La femme marchait dansle desert en trainant son enfant. Cela faisait quelques jours qu'ils tournaient en rond, cherchant une ville, n'importe laquelle. La femme, Siya, était brune, et n'avait pas toujours eu de chance dans la vie. Elle avait quitté son mari quelques quatres ans plus tôt et avait eu envie de mener sa propre vie, avec son petit. De toute maniére, lui ne s'en occupait pas bien. Il était à cent lieues de savoir ce qui était bon pour un enfant, le meilleur moyen de protéger son fil avait été la fuite. Elle avait décidé de rejoindre une amie sur Tatooine, dans une grande ville. Là, elle avait bien été obligée de gagner sa vie et ici, les perspectives de carriéres étaient limitées. Danseuse dans une cantina, c'était ce qu'elle avait trouvé de mieux. De l'extérieur, on pouvait croire que c'était une bonne place. Oui certes, on danse en sous vêtement devant des hommes, mais quan on voyait le nombre de danseuses et artistes célébres ! Silya, elle, pensait qu'elle pourrait peut être à ce niveau. Quand elle y repensait, elle se disait qu'elle avait été bien naive. En effet, ses débuts à la cantina du quartier étaient loins d'être teintés de glamour. Au début, elle dansais dans un joli costume deux piéces qu'elle avait confectionné elle même. Elle avait même pensé à une petite corégraphie, sensuelle et artistique, mais son patron voyait les choses autrement. Dés son premier jour, elle avait receuilli les huées du public, et son employeur lui avait dit. " Bon chérie je t'ai engagé pour ton cul. Si tu le montre pas aux clients tu sert à rien, et j'ai pu qu'à embaucher une autre trainée dans ton genre qui se croira un peu moins dans le grand monde, vu ? ". Pas le choix, si se dénuder était la solution pour nourir son fils, il fallait se plier à cela. Elle mit donc sa pudeur de côté. Malheureusement, le salaire était bien maigre, et ne suffisait qu'à nourir une seule bouche. Silya finit par se faire une raison, et prendre un autre travail de nuit, encore plus décadent. Obligée à se prostituer, elle tenait très mal le coup. Elle finit par se droguer pour enchainer jusqu'à dix clients dans la nuit. Malheureusement, la moitié, voir les trois quarts de ce qu'elle gagnait finnissait en achat de drogue et elle devenait dépendante. Elle en était à un tel point de décadence que c'était son fils, le petit Tom, qui s'occupait d'elle, et non l'inverse. Un beau jour, un client dépassa les bornes et se mit à prendre plaisir à la frapper. Elle gardait toujours une vibrolame cachée sous le lit, et elle s'en servit pour se défendre. Maintenant, elle n'avait pas le choix. Elle devait fuir, ou sinon on l'executerait, et Tom se retrouverait seul. Elle laissa le cadavre de l'homme prit son fils et s'enfuit dans le desert à la recherce d'un abri. C'était presque mission impossible. Elle ne voyait que des étendues de sable, et cela faisait déjà presqu'un jour qu'elle marchait avec Tom. Elle commençait en plus a ressentir le manque de THCS dans son organisme. Elle prit un injecteur et demanda à Tom de se tourner, il s'executa il avait l'habitude. Elle s'enfonca l'aiguille dans le coeur et appuya sur le bouton. La drogue se répandit instantanément dans tout l'organisme. Elle bascula a genou, tremblant, puis se leva quelques minutes plus tard et reprit la route. Deux heures plus tard, elle apperçut un village. Elle pressa le pas, voyant enfin un abri et de l'eau pour elle et son fils. C'était une petite place entourée de sept maisons, dans une était plus grande que les autres. Elle ne vit personne tout était desert. Soudain, un homme en tunique grise sortit de la plus grosse maison, il était chauve, le regard dur.
_ Qui êtes vous, que venez vous faire ici ?
_ Nous... Nous nous sommes perdus et nous recherchons de l'hospitalité.
_ Mmmmm...
L'homme sembla réfléchir, les toiser de haut en bas.
_Tu as l'air bien blanche, femme... Est ce que tu vas bien ?
_ Je... Oui... oui... mais j'ai soif, et mon petit garçon aussi.
Sans s'en rendre compte, elle était en train de trembler de claquer des dents.
_ Mmmh ... Passe ton chemin. Dégages de Mos Hanas, et que je ne te revoie plus.
_ Non je vous en prie non...
Le petit Tom, jusque là très silencieux, n'avait pas cessé d'observer la situation. Il avait repéré touts les moindres recoins de la place du village, il avait également remarqué aucune présence, ce qui était très louche pour un petit village. Le seul signe de vie detecté était celui de cet homme chauve qui ne lui inspirait aucune confiance. Il ne savait pas pourquoi, mais il préférerait être à des kilométres de là, même dans le desert.
_ Maman, je t'en prie, allons nous en...
_ S'il ... S'il vous plait ... Je ferais tout pour..
_ Maman, laisse tomber, allons y !
_ Dégagez maintenant ou vous le regretterez ! Ecoute ton fils femme... Ou tu le regretteras.
_ Non je ... je peux vous payer. Tom, tourne toi.
_ Non maman, pas cette fois, je t'en prie, allons y !
Silya giffla violemment son fils, chose qu'elle n'avait encore jamais fait.
_ Ne discute pas.
Le garçon se tourna. Silya defit le noeud de son corsage et se montra seins nus à l'homme.
_ Peut être peut on aller discuter chez vous ?
Il s'approcha, toujours avec le même regard dur. Il posa une main sur son sein droit, l'effleura, et vint envelopper son sein gauche. Le contact physique ne lui inspirait plus que du dégoût désormais, mais elle avait apprit à simuler un certain plaisir, elle ferma les yeux et bascula la tête en arriére. En fait, elle serra les dents de dégoût. C'était un mauvais moment à passer mais nécessaire.
_ Tu as été sage de dire à ton fils de se retourner...
Silya ne changea pas d'attitude, Tom, lui sût que ce n'était pas pour la même raison qu'il disait cela. Il se retourna au moment où sa mére tomba à terre, répandant une flaque de sang. L'homme tenait dans sa main un organe rouge dégoulinant de sang, un coeur. Tom hurla de rage et de tristesse et courut vers l'homme avec un instinct quasi animal d'en finir avec lui. L'homme tendit son autre bras et Tom se mit à léviter, il était imobilisé, en l'air, juste en face de l'homme.
_ Tu veux te venger ? Tu veux ma mort ? Laisse moi rire ! Tu es comme tous ces esclaves que j'emploie, tu vis, tu aimerais sans doute te rendre exceptionnel mais tu n'en as pa sles moyens ! Tu n'a pas la puissance avec toi, moi je l'ai ! Et des gens comme toi sont inférieurs aux gens comme moi, c'est la nature, et elle désire que tes semblables me servent, moi, le grand Hanas ! Tu pleures ta mère ? Mais la connaissais tu seulement un peu ? Savais tu que c'était une droguée dégénérée qui pensait que le monde était a elle en offrant son corps ? Regarde là ! Tu trouves que c'est une mort digne ?
Il risqua un regard. Silya était étendue, les yeux grand ouverts, les seins nus, elle était ensanglantée, un trou béant dégoulinant de sang se tenait à la place de son coeur.
_ Non bien sûr que non, elle a vécu dans la décadence, elle a péri dans la décadence. Elle était comme tous ces semblables, essayant de donner un sens a sa vie, mais ne parvenant qu'a se couvrir de degenerescence. Le seul vrai moyen de donner un sens a sa vie est de se donner un but, une ligne directrice. Elle n'était pas interressante, toi tu l'es plus. Tu as encore le choix, sers moi et je te montrerai la voie. Je t'offre la une chance de salut, contrairement à ta mère. Sois honoré mon garçon. Maintenant tu as le choix, pars dans le desert ou rejoint moi dans ma hutte. Je te laisse consulter ta mère pour prendre ta décision.
L'homme le laissa seul avec le corps de sa mère. Pour la premiére fois de sa vie, Tom se mit à pleurer. Son discours était faux, injuste, et infondé, et il haïssait cette homme de tout son coeur. C'était des hommes comme lui qui ne méritaient pas de vivre. Il y avait au moins quelque chose de juste dans son discours, il fallait donner un sens a sa vie. Lui, c'était de le tuer, même s'il ne pouvait pas pour l'instant. Du haut de ses 10 ans, Tom n'était pas idiot, il savait que s'enfuir dans le désert serait fatal pour lui. Plein de haine, de rage et de tristesse, le jeune garçon entra dans la maison du meurtrier de sa mère, en gardant l'image figée de son cadavre dans l'esprit. | |
| | | Neo Mayhem Apprenti
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| Sujet: Re: Histoire du seigneur sith Zalera. Jeu 24 Déc - 1:37 | |
| Chapitre 2 : Je suis une légende (hypothéthique).
Le dragon Krayt s'élevait de toute sa taille majestueuse. Il venait déjà d'engloutir deux esclaves qui s'étaient un approchés d'un peu trop prés. C'était une partie de ce que leur demandait Hanas. En effet, la peau de dragon krayt était très prisée, mais pas autant que les éventuelles perles, beaucoup plus rares sur le marché noir, ce qui permettait au tyran de s'enrichir tranquillement, sans avoir à dépenser une goutte de sueur. Certes, les esclaves étaient pas vraiment formés pour faire face à une créature aussi immense, et surtout aussi puissante, mais ça permettait assez efficacement de faire le tri entre les faibles et les autres. Remarque, il n'y avait aucune honte à périr devant un dragon krayt, mais Hanas semblait considérer que si, du moins c'était ce qu'il avait instauré comme règle. Ziro, le capitaine et formateur des esclaves, était en première ligne. Il était armé d'une vibrolance spécialement taillée, et conçue pour être très précise. En effet, une des seules façons de tuer un dragon krayt était de viser fort et juste entre les deux yeux, pour que son cerveau son perforé. Ce qui, pour toute personne normale, et ce même les chasseurs chevronnés, était un exploit. Pour les esclaves de Mos Hanas, c'était leur quotidien, et ils étaient formés tout spécialement pour être efficaces dans cette tâche. Ils en accomplissaient d'autres bien sûr, nécessaires à leur survie mais surtout à celle d'Hanas. Ziro attendait que ses compagnons provoquent des diversions efficaces afin de pouvoir profiter d'un moment d'inatention pour sauter vers le dragon, ou de lancer sa lance. Il n'avait pas vraiment le droit à l'erreur, car il était armé de seulement cette lance, et quelques autres de rechange dans son dos. Heureusement, d'autres étaient armés de ces mêmes armes. Il y avait trois catégories d'esclaves : les tireur, qui devaient tirer de loin sur le dragon afin de l'énerver, les provocateurs, qui devaient détourner l'attention du dragon, et les finisseurs, qui devaient porter l'éventuel coup final. Bien entendu, peu d'esclaves atteignaient de vieux jours, chaque expedition comportant en moyenne deux ou trois victimes. Mais ils réussissaient là plupart du temps à achever leur proie. Le choix était limité, car la fuite était très difficile, voire impossible. Cette fois ci, aux côtés de Ziro comme finisseurs, il n'y avait plus que le jeune Tom, les deux autres ayant ratés leurs tentatives et s'étant fait avaler quelques secondes plus tôt. Agé seulement de 14 ans, le jeune esclave, seulement là depuis 3 ans, avait réussi à s'illustrer remarquablement bien lors des chasses. Il avait ainsi été selectionné comme finisseur par Ziro, qui voyait en lui un des jeunes espoirs de Mos Hanas.
_ Tom ! Prend garde, il ne me reste plus qu'une lance et il ne s'est pas encore assez fatigué ! Ne gâche pas les tiennes.
Ziro avait en effet tenté plusieurs fois de lancer ses projectiles lorsque ses compagnons étaient en danger, sans succés. Le jeune Tom était toujours incroyablement silencieux, et semblait remarquablement concentré. Il était un peu en retrait des provocateurs et de Ziro, sur l'ordre de ce dernier. Mais, soudain, alors que le dragon qui avait l'air toujours aussi agité et innaprochable, le jeune garçon se mit à courir vers la bête.
_Non ! Tom, ce n'est pas encore le moment !
Tom passa juste en dessous de la patte de la bête et sauta directement vers sa geule béante. Il planta sa lance d'un coup et atterit à terre, sur le côté droit de l'animal qui chancela, et s'étendit de tout son flanc sur son côté gauche. Le jeune garçon revint vers Ziro avec un calme qui faisait presque froid dans le dos vu la situation.
_ Si Ziro, ça l'était...
Le capitaine des esclaves ne parvint pas à articuler le moindre son lors de sa premiére tentative, il dût s'y reprendre à deux fois avant d'arriver à parler.
_ Mais.. Mais comment le savait tu ?
Le jeune garçon haussa les épaules sans se retourner.
_ Je ne sais pas, je le savais...
_ Mais aucun signes clairs n'indiquaient que c'était le bon moment pour charger, tu avais une chance sur trois de réussir à...
Une autre voix, bien connue se fit entendre...
_ Le combat n'est pas seulement une question de probabilités mathématiques Ziro, il faut parfois savoir créer sa propre chance. C'est ce qui fait la différence entre un guerrier et de la chair à canon. Savoir exploiter ce que personne ne peut deceler, c'est ce qui fait la différence entre un guerrier et une légende.
Ziro se prosterna, les autres survivants également. Tom avala sa salive difficilement, et finit pas les immiter.
_ Maitre Hanas !
_ Traitez la dépouille comme il se doit et rammenez tout ce qui est exploitable au village. Tom, toi tu viens avec moi.
Tom s'executa sans broncher, et ils marchèrent vers le village.
_ Tu es conscient de ta différence n'est ce pas ?
_ Conscient oui....
_ Mais tu ne la comprend pas. Tu as des dons que les autres esclaves n'ont pas. Tu es supérieur à eux en tout point.
_ Je ne suis pas différent d'eux.
_ Oh si, pour eux tout se passe sur les reflexes, la force physique, l'agilité. Toi, tu as d'autres pouvoirs. Tu as un don, mais tu ne sais pas encore l'exploiter...
_ J'ai de bonnes intuitions...
_ Tu sais que ça va plus loin que ça. Parfois, quelque chose qui s'appelle la force nous guide, mais ce que tu fais toi ne montre pas seulement que la force est puissante en toi. Je t'ai observé tout à l'heure, tu as le don de preconnaissance. Tu as des visions qui te montrent ce qui pourrait arriver, et parfois, ce qui va arriver. Je me trompe ?
_ Je ne suis pas différent pour autant...
_ Oh que si. Tu as le potentiel de devenir bien plus qu'un simple esclave. Tu pourrais régner sur eux...
_ Je n'en ai pas le droit...
_ Les forts dominent les faibles, c'est ainsi que le monde est fait, c'est ainsi que Mos Hanas est fait. Tout le monde est à mes ordres car si je voulait je pourrais en un instant décider de la mort de tout être vivant dans mon village. Je vais faire de toi quelqu'un qui aura le même pouvoir. Mais ne rêve pas, je sens une grande colère en toi, et sache que tu ne pourras jamais me dépasser. Je resterai le maître incontesté de Mos Hanas...
_ Ce que vous appellez la force ne m'a encore rien montré à ce sujet, mon maître...
_ Et elle n'en fera rien, puisque c'est moi qui vais t'enseigner comment la maîtriser. A partir de maintenant, tu répondras au nom de Zaléra.
_ Bien, maître... | |
| | | Neo Mayhem Apprenti
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| Sujet: Re: Histoire du seigneur sith Zalera. Jeu 24 Déc - 2:44 | |
| Chapitre 3 : La voie du sith.
Zaléra avait les yeux fermés. Deux ans s'étaient écoulés depuis qu' Hanas l'avait choisi comme disciple. Deux ans depuis que le jeune homme avait enfin eu l'espoir qu'il attendait depuis si longtemps. Le sith était bien conscient de la haine de son jeune apprenti envers lui, mais il s'en moquait pas mal. Au contraire, il avait vu sa colère comme un instrument qui le pousserait un peu plus loin vers la puissance. Hanas croyait en son jeune élève, il croyait en ses capacités, mais il était certain que jamais il ne parviendrait à surpasser les siennes. Zaléra avait les yeux fermés, et avait fait le vide autour de lui. Il n'entendait plus rien, il ne voyait plus rien. Il ne faisait plus qu'un avec la force. Il avait réussi à rejeter tous ses sens humains et ne se fiait plus qu'au dernier, le bien plus puissant de tous. Il eût soudain ce qu'il voulait : une vision. Il plongea vers la droite en ouvrant les yeux. Zaléra avait maintenant les yeux ouverts, il avait vu que le dragon Krayt attaquait vers la gauche. C'était le moment. Il bondit vers sa geule, mais la bête fût plus rapide que lui. Elle l'avala sans le croquer et fût broyé par l'estomac puissant de la bête. Zaléra avait maintenant les yeux ouverts, et il savait grâce à sa vision que ce n'était pas le moment d'attaquer. Ce qu'il y avait de troublant avec son don, c'était que ses visions étaient parfois si réelles qu'il ne se rendait même plus compte qu'il était hors de la réalité avant qu'il ne la réintègre véritablement. Maintenant, c'était le moment. Le dragon Krayt avait maintenant les yeux fermés, un sabre laser était entré juste entre ses deux yeux, et il s'était effondré. Hanas, en retrait, s'était un peu avancé vers Zaléra.
_Je ne comprends pas, tu n'as jamais utilisé ta colère ! Pourquoi n'as tu pas suivi mes enseignements ?
_ Je n'en ai pas eu besoin, les miens m'ont suffit...
[i]Hanas souleva Zaléra grâce à la force et l'étrangla doucement.
_ Ne soit pas arrogant, jeune apprenti. C'est moi qui t'ai appris comment les contrôler.
Zaléra se dégagea grâce à une poussée de force. Son maître semblait fou de rage contre lui.
_ Non, vous m'avez apris à vivre avec, et vous avez developpé ma reception, et mon lien avec la force. Je ne les contrôle toujours pas, mais j'ai appris à avoir confiance en elles. Utiliser ma colére contre le dragon krayt ? Je n'ai aucune colére, et cela ne m'aurait pas servi...
_ Tu te crois plus malin que toi ? Alors bats toi, et montre moi ce que tu sais faire ! Tu sembles croire que l'élève à dépassé le maître ! Alors prouve le, jeune arrogant !
Hanas se jeta, lame sortie, sur Zaléra qui eût à peine le temps de sortir son sabre. Les coups fusaient, le duel semblait bien plus qu'un entraînement. En tout cas, le maître semblait déchainé, ses coups étaient puissants et précis, comme si il voulait réellement tuer son élève. Ce dernier parvenait aisément à contrer, mais ne semblait pas vraiment trouver la faille pour contre attaquer. Hanas le savait, il attendait une vision providentielle qui lui montrerait une faille chez son adversaire, et il savait aussi que le jeune Zaléra n'hésiterait pas à le tuer s'il en avait l'occasion, et ce même si il était loin de tout savoir. Zaléra paraît tous les coups de son maître et attendait une faille, quelque chose qui lui permettrait d'en finir avec lui, une bonne fois pour toutes.
_ Ne mise pas toujours sur tes foutues vision, attaque ! Utilise la force d'une autre manière ! Allez, rappelle toi qui tu as en face de toi ! C'est celui qui à massacré ta putain de mère !
Zaléra se jeta en avant, faisant pleinement appel à sa colère pour terrasser son ennemi. Cette fois, c'était lui qui reculait. Zaléra était en train de gagner, il allait l'avoir. Il detecta soudain une faille et lui trancha la tête. Zaléra se jeta en avant, faisant pleinement appel à sa colère pour terrasser son ennemi. Cette fois, c'était lui qui reculait. Zaléra était en train de gagner, il allait l'avoir. Il detecta soudain une faille, mais Hanas parvint à le désarmer sans aucun mal et le projeta au loin grâce à la force. Comment cela se pouvait il ? C'était la première fois que ses visions lui faisaient défauts, ce n'était pas possible, Hanas aurait dû mourir et non le désarmer !
_ Alors, que se passe il ? Tu ne comprends pas ? Une vision t'a trompé hein ? Je vais t'expliquer ton erreur, ou plutôt tes erreurs ! Une vision ne montre pas forcément ce qui va arriver, mais ce qui va arriver si quelqu'un ne décide pas de faire quelque chose pour que cela change. Ce qui aurait dû se passer si nous n'étions pas adepte de la force ? Rien, le combat se serait déroulé, je t'aurais probablement repoussé, et l'un de nous deux l'aurait remporté. La, la force t'a montré ce qui aurait pû se passer si tu accomplissait cette action précise. Tu l'as écoutée, mais moi aussi je maîtrise la force. Ne commets pas l'erreur de te croire seule à détenir un certain pouvoir sur le cours de l'avenir. Rien n'est figé. J'ai agi moi aussi sur le destin et sans visions. Pour ce qui est de ta colére, c'est important, tu dois l'utiliser mais a bon escient. Toi, tu la subit, tu ne t'en sert pas pour vaincre. Tant que tu resteras esclave de ta colère, tu n'en bénéficieras pas de ses aspects bénéfiques pour nous, les sith, et tu resteras en tout point inférieur à moi. Allez, rentrons, nous avons encore du travail. | |
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