Dalianath, tueuse a gage très particuliére

1ére partie : Jours comme les autres

Chapitre 1 : Une journée comme les autres

Freyk Jahra était un petit escroc local. Ses compétences étaient multiples : il avait l'habitude d'aller à la rencontre d'éventuels créanciers. Il leur disait un aimable bonjour en leur cassant le bras s'ils étaient un peu trop en retard. Il fallait que les crédits circulents, c'était tout ce qu'il y avait de plus normal. Pour lui c'était une journée comme les autres, il avait commencé bien naturellement par détrousser un individu lambda qui marchait seul dans la rue. Il avait l'air de se méfier de tout, c'était donc probablement quelqu'un qui avait de l'argent sur lui, c'était logique pour Freyk. Il lui subtilisa son dabatapad, ainsi que ses puces à crédits. L'escroc était un vieux briscard, il se trompait rarement sur le potentiel pécunier des gens. Pourtant, sur ce cas précis, il s'était lamentablement planté. Rien, pas un crédit sur les puces, comptes intégralement vidés. Pourtant, l'homme s'était débattu et n'avait rien voulu lâcher. Il avait même essayé de dégainer un blaster. Pauvre idiot, erreur fatale qui lui avait coûté la vie. En effet, Freyk était de la categorie des durs de chez durs, du style qu'on ne cherche pas, relativement musclé et s'enervant plutôt facilement. Un pigeon lui résiste ? Qu'à cela ne tienne, il lui explosait en trois secondes la tête contre un mur, ce qui s'était passé dans ce cas précis.
Bon allez il fallait quitter les lieux, surtout plein de sang il risquait de se faire remarquer assez rapidement. Remarque, il était à la frontiére des bas fonds de Coruscant, ce qui faciliterait grandement sa fuite. Il avait une amie dans le coin, il irait chez elle le temps de faire sa toilette. Par une amie, bien sûr, il entendait une fille peu farouche qu'il visitait de temps à autre quand l'envie de sexe se faisait ressentir, c'est à dire à peu prés tous les soirs. Par contre, il était hors de question de visiter toujours la même fille, c'était une question de principe. Jamais deux fois le même cul, ou on risque de s'endormir. Tout cela faisait partie des jours ordinaires pour Freyk, une banalité presque sans nom.
Quelques heures plus tard, une bonne partie de jambes en l'air douche comprise, notre escroc local sortait de chez sa maitresse numéro 6 et partait vers un rad local, histoire de se consoler d'avoir tué un idiot pour rien. Ca va, il s'en remettrait sans peine. Freyk était un de ces individus tellement égoïste qu'il était incapable d'avoir du remord pour le mal qu'il faisait à autrui. Il était le contraire d'un empathique, il ne ressentait rien à part sa propre satisfaction.
En plein chemin, il sentit une présence non loin de lui. Il se retourna et vit une silhouette sombre à une cinquantaine de mètres. Pas de quoi s'inquiéter, il savait se défendre. Deux rues plus loin, toujours la même silhouette qui s'était rapprochée. Freyk tenta un petit arrêt, la silhouette fit de même. Ok on le suivait, il plaignait ce mec qui allait décidément perdre toutes ses dents.

_ Bon Ok, qui que tu sois tu vas morfler. Tu sais pas à qui t'a affaire, abruti ! Je vais t'exploser la geule, j'aime pas qu'on me colle aux basques !

En se rapprochant de la silhouette, elle s'évanouit mystérieusement dans l'ombre. En plus cet abruti jouait à cache cache ? Il aimait jouer avec sa vie. Ou peut être justement avait il préféré la fuite pour survivre ? Lâche, mais sage. Soudain, il sentit quelqu'un lui taper sur l'épaule. Il se retourna, poing levé, prêt à frapper. Ce qu'il arréta, c'est qu'il découvrit une jeune femme de race inconnue, peau mat, presque noire, tenue assez légére. Elle avait une sorte de débardeur plutôt décolleté, du genre qui ne tenait qu'à un fil. Il était plutôt large et cachait les eventuels sous vêtements, mais elle ne portait pas de pantalon. Généralement, Freyk n'aimait pas du tout les non humaines, les twileks tout ça c'était vraiment pas son truc. Cette espèce là, qu'elle qu'elle soit, lui plaisait bien. La femme avait un charme fou, et sa peau couleur bleu nuit tirant sur le noir donnait envie de la toucher. Pour simple cérémonie la femme lui dit d'une voix suave et lascive, et même envoûtante.

_ Deshabille toi...

Freyk n'en croyait pas ses oreilles. Comme ça en pleine rue, une inconnue voulait de lui ? Bon certes il était pas mal, bien musclé, et avait ce qu'il fallait où il fallait, mais c'était la première fois qu'une inconnue l'abordait de cette façon. La logique lui disait de refuser, ou de lui proposer d'aller à l'hôtel, ou dans une cave, mais il ne pût s'empécher de regarder plus bas voir ce qu'il risquait de perdre en disant cela. Vu le decolleté, elle avait une poitrine plutôt pulpeuse et vraiment généreuse. Il se demandait si les fesses étaient similaires. Comme si elle avait lu dans ses pensées, elle se retourna et se pencha légérement en avant. C'était bien ce qu'il avait imaginé au début, elle ne portait pas de sous vêtements. Elle lui refit face, attendant visiblement qu'il agisse.

_ Bon d'accord, je commence...

Elle déchira litteralement son debardeur avec une facilité enfantine et se retrouva nue devant lui.

_ A toi maintenant.

Freyk avait oublié ou il était et s'éxécuta sans attendre. Il se retrouva bientôt nu, attendant docilement que la jeune femme vienne s'occuper de lui. Avec une grâce folle, elle se mit à genoux devant lui et passa doucement son majeur sur le membre de Freyk. Il n'en pouvait plus, c'était une vraie torture, il faillit lui supplier de commencer. Il était pas loin de se laisser transporter.

_ Bien, le datapad est là. J'aurais bien profité de toi, mais tu n'as pas de coeur...

Le quoi ? Freyk n'eût pas vraiment le temps d'imprimer ce qui se passait. Il ressenti juste une douleur atroce dans la poitrine, puis plus rien.

La jeune femme se tenait en pleine rue. Le coeur de Freyk lévitait maintenant juste au dessus de sa main. Elle n'avait pas besoin d'aspirer son énergie vitale, elle en avait encore largement en réserve. Surtout que sa prochaine victime ne tarderait pas. Bon, prochaine étape, ramener le datapad à son employeur et toucher sa prime. Elle s'était encore bien amusée aujourd'hui, comme tout les jours. Et cette mort, bien que douloureuse et singuliére, était finalement plutôt classique pour elle. Elle n'avait vraiment pas vu l'intérêt de s'amuser plus avec sa cible, il était vraiment sans intérêt. Elle ramasa sa bure noire qu'elle enfila directement sur son corps nu et repartit. C'était une journée comme les autres pour Dalianath...

Chapitre 2 : Un contrat comme les autres

Quelques jours plus tards, Dalianath avait un rendez vous pour un nouveau contrat. Entre temps, elle avait dû changer de planète. Elle était maintenant sur Corellia où elle devait rencontrer une sorte d'agent imobilier. Elle n'avait pas bien compris de quoi il s'agissait et en fait, elle s'en fichait pas mal. Une fois arrivée devant le bunker en question, les gardes levèrent instinctivement leurs armes. Pauvres idiots, s'ils savaient. Elle s'arréta net et soutinrent leur regard méfiant. D'un coup, ils s'écartérent tous les deux et se prosternèrent devant elle.

_ Ah, je préfére....

Elle traversa quelques couloirs ou d'autres gardes subirent le même sort que les deux de l'entrée. Elle finit par trouver une sorte de salle de réunion, remplie de grains de papiers.

_ Premier test hein ?

L'homme assis au centre prit la parole et lui répondit aussitôt.

_ Votre réputation vous précéde, mais disons que oui, je voulais constater votre efficacité. Prevenir de votre venue aurait été bien trop facile...

_ C'est pour vous, si j'avais été d'humeur un peu plus sadique, je les aurais tous tués, et vous vous seriez retrouvés sans garde rapprochée.

_ Je m'en serai payé une nouvelle. Mais, installez vous et mettez vous à l'aise je vous en prie.

Il y avait trois table disposées en U avec plein d'hommes d'affaires autour, et un siége en face de tout ce monde, ou comment se faire examiner.

_ Très bien...

Dalianath déboutonna sa bure et la laissa tomber. Elle s'assit, nue, les jambes légérement écartées devant tous les hommes qui la regardait bouche grande ouverte. Pour elle, la nudité était quelque chose de tout à fait naturel, et elle n'avait rien à cacher de ce côté là. Et, de toute manière, elle ne suportait pas les vêtements. Sa simple bure fine était déjà presque de trop. Les autres la regardait quelques fois de façon choquée, et le plus souvent avec envie. Elle aimait ça, c'était son meilleur amuse bouche avant le meurtre.

_ Tout bien réfléchi, ne vous mettez pas à l'aise. Cela sera plus pratique pour capter l'attention de ces messieurs.

_ A votre guise...

Elle renfila sa bure avec regret. Cela lui aurait plu de rester nue sans que personne ne trouve rien à redire. Dommage, ce serait pour une autre fois. Elle ne la boutonna pas, ce qui dévoila encore suffisement pour attirer l'oeil de l'assemblée. Le meneur ne dit plus rien sur ce sujet, il était conscient qu'il n'obtiendrait pas mieux.
Deux heures plus tard elle sortit du bunker. Sa mission était d'assassiner un concurent un peu trop tenace. Classique, vraiment classique, presque à mourir d'ennui. Par contre un détail l'amusait. Il fallait faire passer ça pour un meurtre passionnel. Pourquoi faire passer ? Cela pouvait aisément en devenir un...
Elle eut vite fait de localiser la cible. Plutôt jeune, du genre actif qui en veut, au niveau du travail bien sûr. Il était avec sa petite amie, une jeune blonde, elle ferait une coupable désigné. Elle les suivit jusqu'à un appartemment, sûrement celui de l'homme. Elle sans faire de bruit en se faufilant par un conduit d'aeration et les trouva en train de s'embrasser. Elle les regarda et attendit qu'ils aillent un peu plus loin, question de souci pratique. Quand ils furent dans le lit, en pleine action, Dalianath se faufila discrétement et aposa sa main sur le dos de la jeune femme. Elle aspira doucement son energie vitale mais s'arréta bien avant de la tuer, pour qu'elle soit insconsciente. Ce n'est pas qu'elle n'avait pas envie de meurtre, aspirer l'energie vitale d'un être vivant juqu'à lui retirer la vie était une des choses des plus jouissives qu'elle connaissait dans son existence, mais malheureusement elle avait besoin de la femme vivante. Elle retira aussitôt sa main, elle répugnait vraiment à toucher les femmes, autant qu'elle aimait le contact avec les hommes. Sa cible fût plus qu'étonné de la voir et sembla s'inquiéter pour sa moitié. Pitoyable. Dalianath le regarda, il avait un certain coeur, une certaine tendresse. Il était ambitieux, il en voulait, mais c'était ce qu'on appellait quelqu'un de bien. Interressant, en plus, il était déjà prêt à l'action. Elle fixa son regard et lui fit passer des messages d'apaisement, puis, elle lui envoya des images fortement subjectives. Bien entendu, elle s'arrangea pour que ce soit d'elle qu'il ait envie. Elle lui montra clairement son corps nu dans son esprit avant même de lui dévoiler. L'homme était un peu récalcitrant, sa blonde était toujours très présente dans son esprit. Pas grave, elle allait être plus persuasive.
Elle lui montra clairement ce qu'il allait finir par faire avec elle quelques minutes plus tard, et, pour finaliser la chose, elle retira sa bure, et se fit devant lui quelques caresses très subjectives. Il tendit sa main vers elle, ca y est, il était prêt. La mante religieuse fondit sur sa proie et profita de son corps une bonne douzaine de minutes. Elle soufflait plus ou moins silencieusement, de façon assez rauque, comme un animal. Elle était assise sur le membre de sa cible et faisait elle même les mouvements. Elle s'était déjà amusée à lui prélever un peu d'énergie vitale, ce qui l'avait rendu plutôt passif. Elle aimait la sensation de va et vient en elle, mais était incapable de prendre réellement du plaisir si elle n'exercait pas son pouvoir de vie ou de mort sur sa cible. Elle soufflait de plus en plus, mais commencait à se lasser. Bon, il était temps de s'amuser. Elle aspira brutalement toute l'energie qui lui restait et continua à bouger quelques minutes sur le corps sans vie. Des que le jeune homme fût mort, elle commenca à gémir jusqu'à hurler de plaisir et retomba entre l'homme et la femme inanimée, haletante, et tentant de reprendre son souffle. Elle se redressa et retira toutes les couvertures. Il était temps de faire porter le chapeau à la blonde. Elle la fixa quelques minutes, puis baissa involontairement les yeux sur sa poitrine. Elle se mordit les lèvres, faillit regarder plus bas mais détourna le regard et eût subitement envie de saigner cette garce à blanc... Elle se retint pour honorer son contrat, et se rappela qu'elle aurait dû égorger l'homme de son vivant. S'il y avait une enquête sérieuse, il serait prouvé que l'homme avait été égorgé post mortem, mais Dalianath connaissait les autorités locales, et elle savait qu'ils risquaient de ne pas s'embêter et de vite classer l'affaie. Elle alla récupérer une dague dans sa bure et la mit dans la main de la blonde, elle accompagna le mouvement et egorgea le mort. Elle ressentit un nouveau spasme d'envie mais y résista, ce n'était pas le moment de se donner du plaisir seule. Elle prit soin de faire baigner la blonde dans le sang et, satisfaite, récupéra sa bure et sortit par le même chemin qu'elle était entrée.

Chapitre 3 : Une répugnance comme les autres

Aprés son petit meurtre bien agréable, Dalianath avait immédiatement regagnée son vaisseau. Elle avait consulté son datapad et avait bien été payée mais elle s'en fichait presque. Elle touchait que très rarement à son argent, elle faisait tout ça pour s'amuser et pour accumuler de l'energie vitale. Elle s'était regardée dans la glace en rentrant dans son vaisseau et retira immédiatement sa bure. Ici c'était chez soi. Un petit habitat bien chauffé, et assez intime pour ne jamais avoir besoin de ce bout de tissu ridicule. Au moins, chez elle, elle pouvait être nue sans aucun problème. Elle passa dans sa chambre un petit quart d'heure et s'amusa un peu en solo en repensant bien fort à la mort du jeune homme et à la mise en scène morbide. Malgré les traces de sang sur elle et le souvenir précis, elle ne prit qu'à moitié du plaisir, la mort étant trop lontaine. Dommage, mais elle n'avait pas l'impression d'avoir perdu son temps, cela avait été tout de même agréable.
Elle passa à nouveau devant la glace. Elle avait encore un peu plus rajeuni depuis l'energie vitale qu'elle avait aspirée aujourd'hui. Elle soupesa ses glandes mammaires et observa son corps et ses traits avec attention. Pas de doute, elle avait récupéré sa jeunesse, comme lorsqu'elle avait 16 ans. En réalité, elle en avait 347 pour être précis. Depuis sa soixantième année, alors qu'elle sentait la mort venir à grand pas, elle avait trouvé moyen de rajeunir ses cellules en prélevant la vie des autres. Une maigre compensation pour pouvoir profiter d'une jeunesse et d'une beauté eternelle tout en continuant de semer la mort autour d'elle.
Dalianath était plutôt connue dans la profession. Mais, vu sa réputation emmagasinée depuis tant de siécles, on la prenait souvent pour une légende, ou un ordre d'assassins qui se transmettait de père en fils, ou de mère en filles. Aujourd'hui, un autre individu appellé le nexus était presqu'aussi célébre qu'elle. Cela dit, il était tellement fantomatique, qu'on venait presqu'aussi à douter de son existence. Elle aimerait le rencontrer un jour, peut être pour le tuer. En attendant, il fallait qu'elle se calme sur l'énergie vitale car déjà 16 ans c'était assez jeune, mais si elle continuait elle allait rajeunir jusqu'à une dizaine d'année, ce qui serait plus compliqué pour s'amuser. Elle allait laisser passer un bon mois sans prélever d'energie vitale. Généralement, elle prenait environ 10 ans en 2 ou 3 mois. Mais même si elle ne pouvait pas aspirer la vie de ces cibles, elle allait tout de même tuer. Sinon, cela lui manquerait trop et elle allait s'ennuyer pendant tout ce temps.
Soudain elle reçut une communiquation de Zane. C'était son intermédiaire à beaucoup de contrats. Tout le monde ne connaissait pas son existence, mais lui était beaucoup sollicité. Il servait d'intermédiaire auprés d'elle.

_Dalianath...

_ Zane ca fait longtemps...

L'image était projetée sur un écran devant elle. Il voyait Dalianath nue mais ne relevait même pas il avait l'habitude. La jeune femme caressa lascivement sa poitrine et demanda d'une voix suave.

_ Alors, ca t'interresse toujours pas ?

_ Non merci, je tiens à la vie.

Elle ria.

_ Tu sais que dès que je veux je peux faire de toi ce que je veux...

_ Oui mais je te suis utile pour trouver des cibles.

_ Exact..
_ Et tu sais que si tu me forcais à coucher avec toi, tu ne pourrais résister à l'envie de me tuer.

Ce n'était pas faux, mais elle aimait bien le tenter sans pour autant utiliser de ses pouvoirs. Elle savait que malgré son air impassible, il faisait tout pour réprimer son envie. Elle pouvait parfois sentir son désis brûlant, pauvre chou...

_ Alors, qu'est ce que tu as ?

_ Tu es sur Corellia non ? Eh bien parfait, restes y. Une autre cible là bas.

Il lui donna les détails. Une femme. Dommage, elle ne pourrait pas s'amuser. C'est pas grave, au moins elle pourrait passer sa frustration sur elle de ne pas avoir pu tuer la blonde. La cible était une employée de la même agence immobiliére. Elle avait dû assister à quelque chose de compromettant pour quelqu'un d'important et on souhaitait sa mort en haut lieu.
Dalianath retrouva sa cible en route vers le marché. Très bien, elle trouverait le moyen de la tuer sur le chemin, et on prendrait ce meurtre pour une tentative de brigandage qui a mal tournée. Elle eût immédiatement des envie de meurtre la concernant, mais, pour une raison inconnue, la femme se retourna et resta bouche bée face à sa future meurtriére. Elles étaient dans une rue deserte, pas de quoi réfléchir, la vibrolame était sortie. Par contre, contre toute attente, la cible commenca à se déshabiller.

_ Maitresse... J'ai envie de vous...

Dalianath partit dans une rage folle et assassina sauvagement la femme. Elle se retrouva couverte de sang, et ne traîna pas pour quitter les lieux. Dommage, elle n'avait pas eu le temps de camoufler la scène. Soudain, alors qu'elle essayait de trouver un itinéraire peu fréquenté, elle ressentit un grand choc. Non, pas de doute, celle qui avait été longtemps sa compagne venait de mourir, ou cela n'allait pas tarder.